Bonheur français
Si le Bonheur est dans l’engagement, alors elles y vont à fond ! Fortes de leur concept innovant axé sur le développement durable des produits de fabrication française, la lutte contre le gaspillage et la promotion des circuits courts, Cécile BRUN et Elodie LAURENT, les deux fondatrices de Bonheur français veulent inscrire leur démarche dans un cercle vertueux de préservation des savoir-faire locaux et dresser un nouveau rempart à la fast fashion. A deux, elles comptent bien déplacer des montagnes ; Cécile à la communication et aux relations presse et partenaires et Elodie à la partie commerciale et contractuelle. L’idée qui germe dans leurs têtes depuis plusieurs années grâce à une prise de conscience collective des enjeux environnementaux est en train de devenir une belle plante !
La première clé ? Ramener les notions de circuit court et local dans nos modes de consommation grâce à la valorisation des savoir-faire de notre pays.
La première thématique est au cœur de leur concept : proposer à la vente des produits fabriqués en France créés par des artisans qui valorisent des savoir-faire et les pérennisent.
Que ce soit pour la partie des ventes privées ou leur Boutique du Bonheur, les deux fondatrices choisissent uniquement des entreprises dont les techniques de production sont les plus transparentes possible, en circuit ultra court et avec le moins d’intermédiaires possible.
« Aujourd’hui, les clients désirent savoir où sont fabriqués leurs produits. Les esprits s’ouvrent à une plus grande transparence et l’on remplace le plus par le mieux en faisant de vrais choix qui nous engagent » Cécile, cofondatrice de Bonheur français.
Pour le choix d’une marque, il y a souvent le coup de cœur humain entre les fondatrices et les créateurs.
« Si nous avons choisi ce secteur, c’est aussi pour être au plus près des marques qui nous font confiance. L’avantage du Made in France, c’est que c’est un secteur de niche où nous pouvons avoir très facilement accès aux fondateurs des marques et développer une réelle relation de confiance » Elodie, cofondatrice de Bonheur français.
« Nous aidons ces artisans et créateurs à étendre leur visibilité au-delà de leurs propres canaux de vente, nous tissons avec chaque marque, chaque créateur, un lien durable et certains nous suivent déjà depuis le tout début. Nous les mettons en avant sur notre site et nos réseaux sociaux. Nous savons que souvent, ces marques manquent cruellement de visibilité pour vendre. A nous tous, nous sommes plus fort et avons plus d’impact. » Cécile, cofondatrice de Bonheur français.
Ajoutez à cela une valorisation des bonnes pratiques écologiques de ces marques que ce soit dans leurs choix de matériaux, d’emballages, de soutien à certaines associations et vous avez la recette du bonheur !
Pour soutenir l’économie hexagonale, et donner un nouveau souffle aux jeunes entreprise françaises, elles se tournent donc vers une approche solidaire, tournée vers l’humain et la mise en lumière des talents.
La deuxième clé du Bonheur ? Lutter contre la fast fashion, la surproduction et le gaspillage avec un système proposé aux marques de ventes privées qui valorise leurs stocks de collections passées et actuelles.
Si aujourd’hui le site de vente en ligne Bonheur français s’est enrichi d’une boutique permanente, il n’en reste pas moins qu’au commencement l’idée était la suivante : proposer un système de ventes privées aux consommateurs sur des produits fabriqués en France.
Pourquoi ? Côté consommateurs c’est un coup de pouce supplémentaire pour les personnes qui veulent passer à une consommation de plus en plus tournée vers le made in France.
« Encore trop de personnes associent les produits de fabrication française avec des produits trop onéreux. Nous désirons leur montrer que certaines entreprises tentent de trouver des solutions à cela. » Elodie, cofondatrice de Bonheur français.
Côté marque, c’est une nouvelle page qui s’écrit dans la lutte contre la fast fashion.
Cécile et Elodie permettent aux créateurs qui n’auraient pas vendu tout leur stock de les leur confier afin qu’elles puissent les remettre en vente à prix doux pour leurs clients très demandeurs de ce type d’offres.
« Les mentalités évoluent et nous sommes plus à même d’acheter des produits issus de collections passées. Pour développer une sensibilité écologique, on garde plus longtemps une pièce, on mise sur des intemporels, on ne jette pas quand la saison est finie. Tout le monde s’y retrouve. » Cécile, cofondatrice de Bonheur français.
Les produits qui ne sont pas vendus sont revalorisés, les marques made in France n’ont plus à jeter leur stock, et s’ils ont, par mégarde surproduit des créations, l’équipe du Bonheur français est là pour leur offrir une solution. Une solution gagnant-gagnant.
Toutes ces prises d’engagements permettent à Bonheur français de se démarquer sur la planète made in France. Pas encore géantes mais avec des ambitions sans limites et des idées à foison, elles entretiennent le capital confiance et sympathie auprès de leurs partenaires et clients.
Cécile et Elodie ont à cœur de garder cette empreinte et image de proximité et de défense de valeur de solidarité, de valorisation des talents de leur pays et d’inscription du Bonheur français dans une démarche de développement durable à 360 °.
