Foule en dĂ©lire, concerts en plein air, ambiance euphoriqueâŠ
Les festivals sont des bulles de bonheur collectif â mais aussi de fortes empreintes Ă©cologiques :
đȘ dĂ©chets en masse,
đ transports polluants,
đ restauration sur-emballĂ©e,
đ consommation Ă©nergĂ©tique dĂ©mesurĂ©e.
đĄïž En 2025, les records tombent. DĂšs le printemps, certaines villes europĂ©ennes frĂŽlent les 40 °C.
RĂ©sultat : fatigue, pollution de lâair, surconsommation Ă©nergĂ©tiqueâŠ
Mais si les villes sont au cĆur du problĂšme climatique, elles peuvent aussi en devenir la solution.
On le sait désormais : notre alimentation représente prÚs de 25 % des émissions de gaz à effet de serre en France.
Entre les aliments ultra-transformés, les produits importés hors saison et les excÚs de protéines animales, nos repas ont un lourd impact sur le climat.
đ Lâagriculture et lâĂ©nergie peuvent-elles faire bon mĂ©nage ?
Câest le pari de lâagrivoltaĂŻsme, une technologie qui associe cultures agricoles et production dâĂ©lectricitĂ© solaire sur la mĂȘme surface.
TrÚs en vogue en 2025, cette pratique suscite espoirs⊠et controverses.
âïž Le tourisme reprend, mais les consciences ont Ă©voluĂ©.
Alors que les voyages courts se multiplient, les transports reprĂ©sentent une part importante des Ă©missions de COâ individuelles.
Faut-il arrĂȘter de voyager ? Non.
Mais il est temps de mieux choisir comment, quand, et pourquoi on part.
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Ensemble, faisons notre transition Ă©cologique !
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