Less Saves The Planet

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2 – Qu’en est-il de la viande et des produits laitiers ?

2 – Qu’en est-il de la viande et des produits laitiers ?

Ce chapitre sur les protéines animales part d’une interrogation sur le rôle de la viande dans l’évolution de notre espèce et surtout sur sa place dans notre société actuelle. Tout en rappelant son impact déterminant dans l’histoire de l’Humanité, Less Saves The Planet pose la question : En avons-nous besoin aujourd’hui ? Cette remise en cause de nos habitudes de consommation passe par le principe directeur du mouvement, les 130 gr maximum de protéines animales par personne et par repas. La mise en place de ce nouveau mode de vie plus écoresponsable se fait alors, pour Less Saves The Planet, à travers la redéfinition du rôle de l’hôtelier-restaurateur en tant qu’acteur du changement.

La consommation mondiale de viande d’aujourd’hui et de demain : hausse vertigineuse ou stabilisation raisonnée ?

 L’évolution de la consommation de la viande est au cœur des préoccupations des restaurateurs, des hôteliers mais aussi des particuliers qui sont sensibles à la cause environnementale. En effet, l’augmentation constante de la consommation de viande et de l’industrie a une influence conséquente sur l’environnement la santé et le monde animal.

L’évolution est aujourd’hui à deux vitesses. D’une part, une hausse chez les nouveaux riches et les pays en développement, et d’autre part, une baisse chez les populations aisées. Au-delà d’un simple état des lieux, Less Saves The Planet rappelle dans ce chapitre les différents régimes alimentaires qui existent aujourd’hui, leurs avantages et leurs inconvénients pour notre planète et notre santé. Avec un véritable point de vue médical, il avertie sur les dangers d’une consommation excessive de viande ou de produits laitiers pour l’Homme.

L’importance du bien-être animal sur la qualité de la viande, élevage et médication

 « La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés par la manière dont elle traite les animaux », Gandhi. Nous avons beaucoup à apprendre de ce grand homme au niveau éthique mais aussi au niveau sanitaire et organoleptique.

Si le lien entre bien-être animal et qualité de la viande a longtemps été nié, il est admis et reconnu aujourd’hui que la surmédicamentassions, le manque d’accès à l’extérieur et la manque d’activité physique des animaux influence radicalement notre santé et celle des animaux.

Selon l’étude sur le sujet réalisée en 2012 par l’INRA (l’Institut National de Recherche Agronomique), un animal stressé de son vivant, notamment au moment de sa mort, subira une chute de PH et son métabolisme musculaire s’en retrouvera profondément modifié. Cette étude révolutionnaire encourage tous les acteurs de la gastronomie à mieux choisir leur viande non seulement en fonction de l’élevage et de l’alimentation des animaux mais en prenant aussi en compte leur bonheur au quotidien.

 

L’élevage dans le monde et ses différentes conséquences sur l’air, l’eau et les sols

L’élevage et les cultures réservées à celui-ci représentent une proportion très importante des terre agricoles mondiales. La présence d’un grand nombre d’animaux sur un même terrain trop longtemps peut engendrer une pollution profonde et irréversible des sols dût aux excréments et au broutage. Mais l’enjeux de la viande concerne aussi forcément nos ressources en eau quand on sait qu’il faut plus de 15 000 litres d’eau pour un kilo de bœuf. Selon la FAO, l’élevage d’animaux pour la production de viande émet plus de gaz à effet de serre (GES) que toute l’industrie des transports. L’élevage de bétail dans le monde est responsable de 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre liées aux activités humaines sur la planète, dont 9,7 % rien que pour l’élevage bovin.  Ce chapitre donne à la fois les clés de compréhension de ces enjeux en proposant en même temps une alternative concrète et en démontrant ses effets sur l’environnement.

La référence des labels : le guide d’une meilleure consommation

 

La création des labels aurait pu mettre fin à nos habitudes néfastes de consommation à travers une meilleure information. Cependant, c’est tout l’inverse ! La multiplication des labels écoresponsables, éthiques ou simplement sur les méthodes de production ont a pour effet une confusion chez les consommateurs voire une méfiance à l’égard de ces labels sans fondement inventés par le marketing. Less Saves The Planet liste les labels à privilégier et rappelle concrètement les critères des labels reconnus qui certifient un réel effort lors de l’élevage qui ce soit pour la viande, les œufs ou le lait.

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